lundi 5 mai 2008

Avec le recul...

Si je me remémore le début de la session dans le cours de nouveaux médias, je me sentais perdue à l'idée de résoudre une problèmatique en faisant une oeuvre d'art totale, mais maintenant que le projet est terminé et même l'exposition, je comprends bien des choses. En lisant sur le sujet de l'oeuvre d'art totale ou oeuvre d'art de l'avenir selon Richard Wagner, l'initiateur de cette idée, j'ai compris enfin ce que c'était. Je crois que ce projet que nous avons réalisé, en groupe, m'a fait réfléchir et je pense que c'était le but de l'exercice. Peu importe le résultat final, nous avons tous eu à réfléchir sur ce que nous allions présenter et avons mis beaucoup d'efforts pour y arriver et c'est le plus important, selon moi. J'ai été un peu prisonnière de la liberté que m'offrait le projet, mais je crois que j'ai évolué dans cette expérience qui me sortait des sentiers battus. Je suis fière d'avoir aider à résoudre la problèmatique posée dans le cours avec mon équipe et avec le groupe. Souvent, on recherche la liberté, et une fois qu'on l'obtient, on est confronté à la gèrer, ce qui nous pousse à trouver, par nous-mêmes, des idées comme nous avons eu à faire dans la création d'une oeuvre d'art totale.

mercredi 30 avril 2008

mercredi 16 avril 2008

Bilan du processus de création

Pour en arriver au résultat final, il a eu plusieurs étapes:

-Visionnement d'une pièce de théâtre d'Hoffmann
-Introduction à l'oeuvre d'art totale
-Discussion en groupe (toute la classe) de la problématique, soit de produire une oeuvre d'art totale en s'inspirant d'Hoffmann
-Proposition de diviser le groupe par actes, comme dans la pièce de théâtre des contes d'Hoffmann
-Division du groupe en équipes
-Stéphanie, Mélissa et moi-même formions une équipe
-Discussion avec mon équipe sur ce que nous voulions faire
-Chacune de nous avions des intérêts différents
Stéphanie: la photo
Mélissa: la publicité
Julie: la peinture
-Nous trouvions qu'une affiche pourrait regrouper nos intérêts respectifs
-Les thèmes abordés dans les contes d'Hoffmann nous intéressaient, par exemple l'amour
-J'ai pensé à la réinvention d'une toile de Gustav Klimt: "le baiser"

-Anne-Frédérique et Pierre-Olivier Grondin ont proposé d'aborder la problématique par un tryptique soit "Le jardin des délices" de Jérôme Bosch
-J'ai bien aimé l'idée, j'ai pensé à la réinvention du tryptique de Bosch en peinture
-Ceci nous a donné l'idée de continuer dans le domaine de la publicité soit de faire une animation avec le tableau de Bosch (celui ci s'ouvre à l'aide du logiciel soft image)
-Nous avons fait la petite animation
-Finalement, Caroline Laroche s'est joint à nous et a conceptualisé l'affiche
-Nous avons commencer la peinture Mélissa et moi, et je l'ai travaillé pendant les multiples tempêtes, et en revenant, Stéphanie a participé
-Nous avons décidé d'amélioré notre animation pour la diffusée dans le cégep, juste avant l'exposition
-On a installé notre toile dans le corridor de l'exposition et, dans l'avant-midi on a fait diffusé l'animation soft image
-J'ai aidé à démonter l'exposition

samedi 5 avril 2008

Mes réactions face à l'exposition et au projet

Je suis fière de ce que nous avons fait en groupe, j'ai vraiment trouvé que c'était une exposition intéressante, malgré que peu de gens venaient la voir. J'étais impressionnée de ce que les autres ont pu faire, en fait, c'est l'effort de chaque personne qui a façonné tout cela. Tout ceci pour dire qu'en groupe, on peu faire plus que si nous sommes seuls.
Au début, j'étais un peu inquiète face au projet, mais quand mon équipe et moi avons mis la main à la pâte, la pression est tombée. Je pense que ce sont les premiers cours qui m'ont donné la frousse puisque nous avancions, dans nos idées, à pas de tortue.
Après l'exposition, la table ronde a été efficace, selon moi, puisque cela m'a permis de me retrouver dans toute cette aventure, ça a fait le point sur ce que la majorité des élèves pensaient et je me suis retrouvée, à quelques reprise dans les idées de tout un chacun.

mercredi 26 mars 2008

Vidéo du triptyque

L'enfer
Cette partie du tryptique a été peinte en ayant en tête l'idée du rock et de la mort. On perçoit un décor assez sombre sur lequel il se passe des choses effrayantes comme un envahissement d'une ville par une araignée géante, un incendie grandissante, une grenouille qui englouti des déchèts, un homme qui se fait manger par un autre créature et un serpent qui étrangle un homme. Je trouve que cette version de l'enfer s'apparente à l'enfer selon Bosch, il y a un esprit semblable.
Le monde terrestre
Ici, nous nous sommes permises un peu de liberté puisque nous voulions offrir un esprit plutôt actuel. La partie du haut reflète les attractions d'aujourd'hui comme des manèges ou une ville comme New-York illustré par deux gratte ciel. La partie centrale veut faire état de la pollution qui est un grand problème de nos jours par l'illustration d'une poubelle qui attire des bestioles difformes(p-ê mutantes) et la partie du bas montre l'amour qui règne encore aujourd'hui par un couple qui se balancent ainsi que la façon donc chacun se voit illustré par un homme qui se voit en fait libre comme étant un oiseau.